vendredi 20 février 2015

Le désir de Gobi: puissant

Photo: Colin Earp-Lavergne
Quinze ans après sa création, Le Désir de Gobi reste d’une rare pertinence. Premier opus de Suzie Bastien qui, tout au long de son parcours, a choisi de réfléchir aux liens familiaux, plus particulièrement dysfonctionnels (L’effet Médée, présenté récemment dans sa version anglaise, entre certainement en résonance), la pièce ne devient entièrement intelligible que si, dès ses premiers instants, un étrange pacte se signe entre acteurs et spectateurs.

Pour lire ma critique, passez chez Jeu...

La pièce est présenté au Prospero jusqu'au 7 mars

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